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 ⊹ but all my tears have been used up (jack)

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MessageSujet: ⊹ but all my tears have been used up (jack)   ⊹ but all my tears have been used up (jack) EmptySam 31 Jan - 21:05


jack o'connor
home is where your heart is set in stone
image - tumblr ○ quotes - gabrielle applin.

- NOM : tu portes le même patronyme que ton père et ton grand-père avant toi, O'Connor. On y décèle clairement tes origines, et tu l'aimes, ce nom. C'est le tien, c'est une raison suffisante pour l'apprécier. Tu espères qu'un jour, il sera associé au grand écrivain qui sommeille en toi. - PRÉNOM(S) : on t'a donné le prénom de ton grand-père, Jack. Tu le portes avec un certain sens de l'honneur, parce que tu es fier de connaître cette personne qui t'a tant influencée. Quant à ton second prénom, il s'agit de Garrett, mais il ne t'importe que peu. En effet, il n'est là que sur ton passeport, et certainement pas dans la vie courante. - ÂGE : tu viens tout juste de fêter ton vingt-sixième anniversaire. Le temps passe vite, beaucoup trop vite, et ça t'effraie. Maintenant, tu es sur la mauvaise pente de la vingtaine, la pente descendante. La trentaine commence à se rapprocher et ça te rend malade. Pour le moment, tu préfères ne pas y penser. - DATE ET LIEU DE NAISSANCE : tu es né durant une nuit glaciale, un neuf novembre, date coïncidant avec celle de la chute du Mur de Berlin. Toutefois, c'est à Greenwich, Connecticut, que tu as poussé ton premier cri, et non sur le continent européen. - NATIONALITÉ : tu as la nationalité américaine, et ce depuis ta naissance, bien que tes origines soient ailleurs. En effet, ton peuple d'origine est l'un des plus marquants de l'histoire des États-Unis, ce sont eux qui contribué à cet immense melting-pot que l'on a tendance à oublier. - ORIGINES : tes racines te mènent tout droit au pays de la verdure, du trèfle et de la Guinness. En effet, tes origines sont irlandaises, ce qui se traduit par ton nom, mais aussi ton teint blafard, tes cheveux (bien que blonds, ils ont tendance à tirer sur le roux) et ton caractère sanguin. D'ailleurs, tous les membres de ta famille sont issus à court ou long terme de l'immigration irlandaise. - PROFESSION : tu es écrivain. D'ailleurs, ton premier roman, publié à compte d'auteur, Letters from Cape Elizabeth, s'est correctement vendu. Auparavant, tu étais professeur de littérature dans un lycée du Queens, mais tu as démissionné pour venir ici et écrire le roman de ta vie. - SITUATION FAMILIALE : tu es un homme seul, autrement dit célibataire. D'ordinaire, les femmes, tu les prends, et tu les jettes après qu'elles soient passées sous tes draps. Mais, ces temps-ci, ton lit est vide, et c'est parce qu'une en particulier occupe tes pensées, au point que ça te rend malade. - TRAITS DE CARACTÈRE : on te perçoit comme quelqu'un de poli, discret sans pour autant être effacé. Tu es une personne persévérante, mais aussi prétentieuse, égoïste, narcissique, qui se caractérise par son ambition sans borne. Tu peux te révéler comme étant romantique, jaloux et adepte de l'humour noir. - GROUPE : message in a bottle.

DRUNK IN LOVE

croyez-vous au grand amour ? : je ne sais pas vraiment. je ne suis pas le genre de personne qui a pour habitude d'y croire, en fait. de véritables relations amoureuses, je n'en ai que peu, préférant les liens éphémères, ce que l'ont construit sous les draps pour les renier le lendemain matin, voir au bout de quelques semaines. mais, je finis par douter. si le grand amour existe réellement, je crois bien que je l'ai rencontré. elle me bouleverse, cette femme qui aime la pluie, les mouettes et les vieilles machines à écrire. mais je ne devrais pas, je ne suis pas ici pour longtemps. juste le temps de trouver l'inspiration et d'écrire ce foutu bouquin, celui qui hante mes jours et mes nuits tant les mots ne viennent pas. il n'y a que son nom qui me vient à l'esprit, et ce en permanence. - quel est votre rapport avec southport ? lui portez-vous un attachement ou au contraire ? : venu ici dans le but d'écrire, il faut dire une chose : cette ville est magnifique. elle est authentique, simple, de toute beauté, que ce soit en raison de son panorama, son architecture ou de sa population. elle a un charme fou, et elle servira d'ailleurs de cadre à mon roman, toutefois si je parviens à l'écrire. car, plus le temps passe, moins j'ai d'inspiration. pourtant, c'est le but de mon séjour, car une fois ce roman écrit, il me faudra abandonner la maison de carolina bay pour rentrer chez moi, à new york. toutefois, ce sera avec le cœur lourd, car je crois bien m'être attaché à cette petite ville, sans le vouloir. - quel genre de voisin êtes-vous ? je pense être un voisin discret. il est vrai que je suis plutôt quelqu'un de solitaire, et à southport, j'essaie de ne pas faire de vague. mettre la musique à fond jusqu'à cinq heures du matin, ou bien laisser mes poubelles traîner dans la rue, ce n'est pas mon genre. je suis venu pour écrire, par conséquent je passe mes journées sur la terrasse ou au meaty fishy dinner. on a tendance à me voir comme une personne discrète, ne souhaitant pas s'étaler sur elle, sur sa vie. je cherche plus simplement à écrire mon roman avant la fin du délai imposé par ma maison d'édition, et ça me semble relever de l'impossible désormais.

Tu es fils unique, tes parents ayant eu de grandes difficultés à concevoir un enfant. Par conséquent, tu as été un enfant couvé, notamment par sa mère, sur qui tous les espoirs reposent. Ton amour de la littérature te vient de ton grand-père, ce même homme dont tu portes le prénom. C'est lui, qui t'a donné envie d'écrire, lorsqu'il t'a offert un exemplaire de On the Road, le célèbre roman de Jack Kerouak, devenu ton livre préféré. Tu as toujours été le meilleur en tout. Dans ta scolarité, tu étais le premier de classe, que ce soit au collège ou à la fac. Pareil en sport, tu es excellent dans ce domaine également. Tu suscitais l'admiration, tu ne cesses de la rechercher. Tu es convaincu d'être un grand écrivain. D'ailleurs, tu es venu à Southport pour écrire ce second roman qui doit être un chef-d’œuvre. En effet, à New York, tu ne trouvais pas l'inspiration. Tu as tout plaqué pour venir ici, jetant tes économies dans la location d'une maison au bord de la mer. Tu étais professeur de littérature dans un lycée du Queens, mais tu as démissionné. Le souci, c'est que tes économies fondent à vue d’œil, mais que tu n'arrives toujours pas à écrire. Tu dépéris petit à petit. Tu as pour habitude de passer tes journées entre ta table attitrée du Meaty Fishy Dinner et la terrasse de ta maison de Carolina Bay. D'ailleurs, aux yeux des habitants de Southport, tu es une vraie célébrité. Tu as pourtant essayé de leur expliquer que tu n'es pas encore un écrivain de renommée, mais ils ne veulent rien entendre. Tu es un piètre cuisinier. D'ailleurs, tu n'aimes pas manger, tu es capable d'oublier de manger. C'est Ivy qui pense à te nourrir, ces derniers temps. Tu as appris le piano à l'âge de huit ans. Côté sport, tu pratiques le squash depuis que tu es arrivé à la fac. D'ailleurs, tu as eu une bourse pour étudier à Columbia, à New York. Tu en es sorti diplômé au bout de quatre ans, possédant un bachelor en littérature anglo-saxone. Tu aimes particulièrement le blues, c'est le seul style de musique qui te fasse te sentir bien. Ta mère est décédée il y a deux ans d'un cancer du sein. Tu ne te sens pas mieux, tu es toujours aussi triste, mais tu as appris à vivre avec. Tu conduis un 4x4 Jeep, peinture grise. Tu pourrais passer des heures dans les galeries d'art. Tu aimes ça, tu ne te l'expliques pas, ça t'émeut, point. Ton idéal féminin est Lauren Bacall, la célèbre actrice à la voix rauque et au regard émeraude. Tu es nul en ce qui concerne les travaux manuels. Tu ne sais absolument rien faire de tes mains. Tu parles l'Allemand et l'Italien, ceci reflète ta fascination pour ces deux cultures. D'ailleurs, tu t'es rendu plusieurs fois en Europe. Tu collectionnes les vieux appareils photos. D'ailleurs, si tu n'avais pas été écrivain, tu aurais été photographe, probablement correspondant de guerre. Tu es abonné au magazine Life. Tu ne fumes que des Lucky Strikes, sans filtre. Tu as horreur des sports d'équipes. Tu es fasciné par la Russie. Un de tes souhaits est d'apprendre le Russe, langue difficile mais ô combien sensuelle. C'est tout récemment que tu as saisi l'étendue de la beauté des mouettes. En effet, c'est en écoutant Ivy te parler de ces créatures que tu as pu comprendre à quel point elles étaient majestueuses. Tu es Catholique pratiquant. Tu n'écris qu'avec ton stylo Mont Blanc, cadeau de ton grand-père, reçu lors de ta remise des diplômes. Tu n'achètes tes meubles que chez les antiquaires. Tu as une sainte horreur d'Ikéa.


---✳️---

- PSEUDO : UNKNOWN PLEASURES, encore et toujours. - PRÉNOM : Océane. - ÂGE : dix-huit ans moins deux mois. - LOCALISATION : Nord, plus précisément Lille. - CONNAISSEZ-VOUS LES OEUVRES DE SPARKS? : quelle question ⊹ but all my tears have been used up (jack) 1413987747  - SI OUI, QUELLE EST CELLE QUE VOUS PRÉFÉREZ? : Message in a Bottle, pour l'ambiance, les paysages, et le film (R.I.P. Paul Newman ⊹ but all my tears have been used up (jack) 2123570050 ) - COMMENTAIRE(S) : totalement schizo ⊹ but all my tears have been used up (jack) 1290585538  - AVATAR : Sam Claflin.



Dernière édition par Jack O'Connor le Sam 7 Fév - 20:23, édité 23 fois
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MessageSujet: Re: ⊹ but all my tears have been used up (jack)   ⊹ but all my tears have been used up (jack) EmptySam 31 Jan - 21:06


-✳-
I wanna take you somewhere so you know I care,
But it's so cold and I don't know where
I brought you daffodils, in a pretty string,
But they won't flower like they did last spring

- tom odell ~ another love.


Tu dessines des spirales du bout de ta plume. Cela fait plus de trois heures que tu es assis à cette table, la même table que chaque jour, mais plus le temps passe, moins tu te sens inspiré. Tu relèves le menton. Elle est là, l'air soucieuse. Tu la contemples, elle, en train d'essuyer des tasses à café. Tu lui souris. Tu la contemples. I.V.Y. Ses cheveux châtains lui tombent au-dessus de la poitrine. Le rayon de soleil l'illumine. Oui, c'est cela, tu la trouves lumineuse. Ivy est tellement lumineuse qu'elle occupe l'intégralité de tes pensées. Tu ne sais qu'écrire que ça, son prénom, sur ton carnet à petits carreaux. Si seulement, tu arrivais à écrire quelque chose de potable. Mais, tu n'arrives à rien. A chaque fois, tes phrases sont vides de sens, ta verve est plate, ne rime à rien. Tu en as marre. Tu sens la panique te monter à la tête, au fur et à mesure que les jours passent. Tes économies s'effondrent, tu n'as rien à donner à ton éditeur. Bientôt, tu ne pourras même plus rester à Southport, n'ayant plus de quoi louer la maison. Il te reste quelques mois, tout au plus. « Je vous apporte quelque chose, Monsieur O'Connor ? Il reste encore une part de tarte, noix de pécan. » Tu hoches la tête, restant sur ce Monsieur O'Connor. Depuis quand, t'appelle t-elle ainsi ? Depuis votre rencontre, elle t'appelle par ton prénom, Jack. Qu'as tu fait ? Qu'est ce qui a bien pu se passer ? Tu ne comprends pas. Comment Ivy, ta Ivy, change t-elle si subitement d'attitude, alors qu'elle s'est toujours montrée familière avec toi, n'hésitant pas à se lancer dans de grandes conversations, perchée derrière son comptoir ? « Voilà, Monsieur O'Connor, » articule t-elle alors, disposant sur la table les différents condiments. Tu lèves un sourcil, perplexe. C'est encore plus étrange. D'ordinaire, elle est douce, attentionnée, merveilleuse, mais pas distante. « Ivy, à quoi tu joues ? » demandes-tu alors. Tu es mi-amusé, mi-choqué. Tu ne sais pas si tu dois prendre les choses sérieusement. Tu ignores encore si c'est un jeu, ou si c'est réel. « Je m'assure que vous vous nourrissiez, et que vous ne manquiez de rien, » te répond t-elle, désignant l'ensemble des condiments. Ketchup, Moutarde, sauce barbecue, sauce salade ... Oui, tu as vu ça. D'ordinaire, Ivy ne fait pas ça. Elle n'agit pas comme les autres serveuses du dinner. « Je parle de Monsieur O'Connor, précises-tu. Tu lui souris. La voir te fait sourire. Elle ne quitte jamais tes pensées. Si seulement, elle savait. Mais, tu te tais. Tu ne veux pas qu'elle ait cette fausse image de toi. Celle que tous ont en ville. « Oh. C'est à cause de la note, » te répond t-elle, en haussant les épaules. Comment ça, la note ? Ta Ivy, se soumettre à un bout de papier ? Elle, ce véritable rayon de soleil, toujours joyeux, faisant profiter de sa bonne humeur, parlant pendant des heures de choses qui paraissent aussi futiles que les mouettes ou les machines à écrire anciennes, mais qui parvient à sublimer de tels objets ? Non, ce n'est pas possible. « Je peux voir cette note ? » demandes-tu, un sourire plaqué sur les lèvres. « Pas question, si jamais la patronne voit qu'elle a bougé, ça ... » Tu te lèves d'un bond. Tu dois lire cette note, et Ivy l'a bien compris. Car, vous vous précipitez tous les deux vers le comptoir, riant aux éclats. Là, tu retrouves ta Ivy, celle qui te bouleverse, celle qui t'émeut par sa simple présence. Tu décroches la note du porte-bons de commandes. Mais, tu ne peux pas la lire, parce qu'Ivy se jette littéralement sur toi pour te l'arracher des mains. Par chance, tu es plus grand que la jeune femme, suffisamment pour maintenir le bout de papier à bout de bras, l'autre te servant à retenir la jeune femme contre toi. Vous êtes partagés entre le rire et l’essoufflement, Ivy gesticulant, dans une tentative de se libérer de ton emprise. C'est bien la première fois que vous vous retrouvez ainsi, corps contre corps, et la situation est loin de te gêner. Toutefois, tu es bien trop occupé à déchiffrer le bout de papier dans ta main gauche. « Vous aurez remarqué que depuis maintenant trois semaines, Jack O'Connor vient déjeuner dans notre établissement. Monsieur O'Connor est un grand écrivain new-yorkais, il convient de lui apporter une attention particulière. Il faut savoir satisfaire tous ses besoins avec la plus grande discrétion. Ne jamais l'importuner. La table 3 lui est réservée jusqu'à nouvel ordre. Elle doit toujours être libre pour lui ... » Tu éclates de rire. « T'es content ? Maintenant, lâche-moi. Grand écrivain ou pas, je n'hésiterai pas à t’assommer à coup de bouteille de sirop d'érable ! » s'exclame alors Ivy. Le restaurant est vide, vous êtes seuls au monde. Alors, tu la lâches. Tu n'as pas envie de tout ficher en l'air en l'embrassant maintenant. Tu pourrais, pourtant.
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